Comment ne pas partager, avec nos amis adeptes de voiturettes, ce petit délire custom, sur base de Messerschmitt Tiger.....On aime ou pas, mais il fallait tout de même oser !
Comment ne pas partager, avec nos amis adeptes de voiturettes, ce petit délire custom, sur base de Messerschmitt Tiger.....On aime ou pas, mais il fallait tout de même oser !
Depuis le temps qu'on en parle, cette fois c'est la bonne !
La Mini-Moke, Jade et moi-même allons faire quelques passages dans la série télévisée "Camping Paradis".
j'ai même eu comme compagnon de tournage.....un couple de dinosaures !...mais ça c'est pour un prochain épisode.
Mieux encore...ici avec le très sympathique, acteur/réalisateur Emmanuel Joucla. (ex-membre des "Nous c'est nous", à l'époque de ses débuts, avec Jean Dujardin, Bruno Salomone, Eric Collado et Eric Massot).
En ce qui nous concerne, il faudra toutefois avoir l'oeil vif, car il ne s'agit que de figuration et les passages sont très rapides !
Le premier épisode où vous pourrez nous voir s'appelle "Le combat des chefs", qui sera diffusé sur TF1, le Lundi 15 octobre en prime time.
Le milieu naval ne nous laissant pas insensibles, nous allons nous permettre, aujourd'hui, un petit hors-sujet.
Une voyage transatlantique, à l'époque, où les voiles et la vapeur cohabitaient....
Par passion pour les aventures humaines qui ont marqué l'évolution de l'homme, sur terre, sur mer et dans les airs, il paraissait difficile de ne pas se pencher sur l'histoire de ce paquebot et surtout de son concepteur de génie.
Le Great Eastern est un des paquebots les plus extravagants à avoir fendus les flots. Il est en avance d'un demi siècle. Nous sommes en 1857, lors du lancement de ce navire de deux cent dix mètres de long et trente-six mètres cinquante de large. Le great Eastern est alors cinq fois plus grand que tout ce qui navigue sur le globe. Il peut emmener à son bord cinq mille passagers (deux fois plus que le Queen Mary de 1934) et emporter avec lui six mille cinq-cent tonnes de fret.
Pour voir flotter un navire plus grand, il faudra attendre le lancement du Lusitania, quarante-sept ans plus tard !
Isambard Kingdom Brunel est né le 9 avril 1806, à Porsmouth, d'une mère anglaise et d'un père normand, émigré en Amérique à la révolution.
Il est à l'époque une sorte de Léonard de Vinci, dans ce XIXeme siècle en pleine expansion.
Son goût pour l'innovation et la démesure le mènent à construire pas moins de vingt-cinq voies ferrées, à travers l'Europe. Il dessine tout de sa main : ouvrages d'art, gares, lampadaires, wagons....
Il construit également cinq ponts suspendus, dont un de deux kilomètres, à portée unique. Il dessine les plans d'une canonnière blindée, pour combattre les Russes pendant la guerre de crimée, qui peut débarquer des tanks amphibies.
Il dessine et fait construire en Angleterre, un hopital de campagne préfabriqué, équipé d'un système d'air conditionné, de mille cinq cents lits. L'un d'entre eux sera monté par quelques hommes seulement, en Turquie.
Mais une de ses plus surprenantes inventions reste, un chemin de fer atmosphérique, non-polluant, capable d'atteindre la vitesse de cent douze kilomètres à l'heure. La ligne mesure soixante-quinze kilomètres et fonctionne sur le principe suivant : Le train utilise la force d'attraction du vide. Des stations de pompage, réparties le long de la voie, aspirent l'air avant le passage du convoi. L'invention révolutionnaire est très bien acceuillie, par le public, puisqu'il n'y a, contrairement aux autres trains de l'époque, ni fumée, ni vibrations. Malheureusement Brunel est victime de son avance technologique. Le système se détériore rapidement, car les bourrelets d'étanchéité sont en cuir et le froid les craquèle...les rats font le reste. Le système ne sera efficace que quelques mois. Dans le domaine ferroviaire, sa réalisation la plus célèbre restera la ligne Londres-Bristol, nommée Great Western Railway.
En observant à la loupe un vers qui se niche dans le bois (le taret), il a l'idée d'inventer une foreuse de douze mètres de haut, munie d'alvéoles, où les ouvriers prennent place pour creuser. Comme le taret, la foreuse avance (grâce à des vérins) et rejète la boue derrière elle. En 1826, le père d'Isambard dégage des capitaux, pour creuser un tunnel sous la Tamise. Achevé en 1841 il est toujours utilisé actuellement.
En 1833, il lance son premier bateau, le Great Western, de soixante-douze mètres de long. C'est le premier transatlantique, à vapeur, à avoir un service régulier. Il effectuera soixante-quatorze traversées, sans incident. Lors de son voyage inaugural, il bat le record de vitesse, face au steamer américain Sirius. Parti quatre jours après lui, il arrive à New-York seulement six heures après lui. Il possédait encore à son bord cent cinquante tonnes de charbon, alors que le Sirius , afin d'arriver à bon port, a été contraint de brûler son grément, ses meubles et même la poupée d'une petite passagère !
Sa deuxième expérience navale sera le Great Britain, lancé en 1843. C'est le premier bateau entirement construit en fer et surtout le premier à être propulsé par des hélices, à la place des roues à aubes latérales. Ce bateau est encore visible, aujourd'hui, à Bristol. Malgré son âge, sa doublure de bois est encore intacte.
Isambard Kingdom Brunel était surnommé the little Great (le petit géant), de part sa petite taille. Son chapeau haut de forme, en poil de castor, lui servait d'attaché-case, car il y rangeait les notes qu'il gribouille continuellement et y range également son courrier. Il fume de petits cigares minces (40 par jour) et dort quatre heures seulement, par nuit, dans une calêche où il a installé un lit, pour ne pas perdre de temps.
Great Eastern : le plus grand bateau du monde
Lorsque Brunel se lance dans la construction du Great Eastern, c'est pour lui le seul moyen de remédier au handicap des bateaux à vapeur, qui ne peuvent aller loin faute de combustible. En construisant un bateau gigantesque, il peut remédier à ce problème majeur.
de gauche à droite, les constructeurs du Great Eastern : Robert Stephenson, John Scott Russel et Isambard Kingdom Brunel
Le challenge est de pouvoir construire un bateau pouvant emporter, avec lui, douze mille tonnes de charbon, assez pour aller en Australie et revenir, sans escale pour le ravitaillement. Le chantier débute le 1er mai 1854. Construit intégralement en acier, sans aucune membrure, ni quille, car conçu avec un fond plat.
Afin de le rendre insubmersible, il est équipé d'une double coque, avec un espace de quatre-vingt onze centimètres entre les deux, seize compartiments étanches et trente mille plaques de tôles de vingt-deux centimètres d'épaisseur rivetées par trois millions de rivets.
Le Great Eastern est propulsé par deux gigantesques roues à aubes et une hélice.
Il devra être lancé parrallèlement à la Tamise, car elle ne mesure que trois cent mètres de large, à l'endroit du chantier.
Lors de son lancement, le géant d'acier est censé rouler sur cent vingt rouleaux de métal, en se dégageant des deux berceaux qui le maintiennent. Le Great Eastern est alors l'objet le plus lourd jamais construit par l'homme. La coque pèse à elle seule douze mille tonnes.
Le lancement est prévu, le 3 novembre 1857, à marée montante.
L'opération est censée se dérouler en vingt minutes et des recommandations sont données afin que chacun reste silencieux pour bien entendre les ordres donnés.
à la stupéfaction générale, le jour J, cent mille badauds investissent le chantier. Les financiers à court d'argent, ont décidé de se renflouer en vendant des billets d'entrée, pour assister au lancement. Des gradins ont même été installés pendant la nuit. Tout le gratin londonien est présent. Brunel tente de faire écarter la foule des appareils de lancement, en vain.
Au moment où Brunel entreprend de donner les ordres de lancement, les actionnaires en émoi, réclame un nom pour le bateau, toujours pas baptisé. Brunel excedé, leur hurle, "appelez-le Petit Poucet si vous voulez !"
Il est alors décidé qu'il se nommera Léviathan....nom qu'il ne portera qu'à cette occasion.
Enfin la proue et la poupe sont libérées. Les treuils surdimensionnés prévus pour ralentir la descente du géant sont près à être utilisés, au cas où il descendrait trop vite.
La foule retient son souffle, pendant que le bateau frémit, sur place, pendant dix minutes. Il n'avance alors que de sept malheureux centimètres. Des béliers hydrauliques sont alors actionnés, afin d'accélérer l'opération, mais le navire glisse trop vite. La manivelle, d'un des treuils devient folle, projetant douze hommes dans la foule...c'est la panique ! on tente alors de faire glisser le bateau en le tractant avec des remorqueurs, mais il refuse de bouger. Brunel stoppe les opérations...il y a déjà deux morts et trois blessés grave. d'énormes maillons de chaines ont voltigés dans la foule et touché des spectateurs.
Commence alors un périple qui durera trois mois afin d'extirper le bateau du chantier naval, en utilisant des béliers à vapeur, qui cassent les uns après les autres. Même leurs socles de soixante tonnes se fendent.
Enfin, le dimanche 31 janvier 1858, au matin, le navire rejoint la Tamise. Avant même de flotter le Great Eastern a coûté une fortune à ses actionnaires.
Tout y est surdimensionné. Ses cinq cheminées sont baptisées Lundi, mardi, mercredi, jeudi et vendredi. Lorsque l'on demande à l'éqipage la raison de leur nom, les marins répondent qu'il n'y a pas de week-end, à la mer.
Le mât de misaine taillé dans un pin d'orégon est plus grand que les tours de Notre-Dame. La surface totale de sa voilure est de six mille mètres carrés....qu'il n'utilisera quasiment jamais. Il est comparé à l'arche de Noé, dont il serait l'ainé en taille, d'après de savants calculs.
Isambard, astucieux, comme à son habitude, a imaginé, à bord, un système d'écirage au gaz. La surface des cabines est modulable, grâce à un système de cloisons mobiles, pouvant les faire varier de deux à huit passagers.
Dans les suites, des baignoires sont dissimulées, derrière les divans.
Au robinet il est possible d'obtenir de l'eau chaude, de l'eau froide et de l'eau de mer...comme il en sera le cas sur le Normandie en 1934, on peut prendre son bain de mer.
Pour sa première sortie, la mer est houleuse, mais le bateau bouge à peine et surtout personne n'a le mal de mer. Malheureusement, l'explosion d'une des cinq cheminées vient troubler la fête, laissant un cratère béant au milieu du pont. Le grand salon est entièrement détruit, mais la coque est intacte. L'annonce de cette nouvelle aura raison d'Isambard Kingdom Brunel, qui succombe à un arrêt cardiaque. Il est alors âgé de cinquante-trois ans.
Après réparations les armateurs décident d'un voyage inaugural vers New-York. Il est même envisagé de vendre des milliers de billets pour visiter le bateau à quai.
Le paquebot appareille avec seulement trente-cinq passagers à son bord, pour quatre-cent dix-huit hommes d'équipage. (l'explosion de la cheminée ayant effrayé les postulants).
Au court de cette traversée les passagers organisent des courses à pieds et des parties de jeux de quilles...les jeux de pont, sur les transatlantiques viennent de naître ! Naissance également de la première édition d'un journal imprimé à bord d'un bateau.
Jules Verne reporter sur le Great Eastern
Jules Verne participera à la dernière traversée du Great Eastern et en fera le récit complet, avec une grande précision du faste de la vie à bord et de l'ambiance qui régnait dans les salons mondains.
....la traversée lui inspirera, le roman "une ville flottante".
Lors de sa carrière le Great Eastern a accumulé la malchance, au grand désarroi de ses actionnaires, qui se sont succedés, sans ne jamais en dégager un réel bénéfice.
Lors d'une des traversée le navire essuie un tempête violente. Les roues à aubes sont arrachées par les vagues, les chaloupes volent par dessus bord. Le bateau atteint 45 degrés de gîte, ce qui laisse un souvenir peu agréable aux passagers qui tentent vainement de tenir debout.
Une vague détruit l'enclos à bestiaux, si bien que deux vaches atterrissent, en meuglant, dans le salon des dames.
Une autre fois le bateau percute un rocher, près de Long Island. Un scaphandrier plonge pour évaluer l'ampleur du désatre. La coque est déchirée sur vingt-cing mètres de long et deux mètres quatre-vingt de large. Heureusement la double coque a résisté et deux ingénieurs américains arrivent à réparer, sur place, à l'aide d'un caisson étanche géant. Depuis, le récif en question, a été baptisé Great Eastern.
Découragés, les actionnaires mettent le bateau aux enchères. Il a déjà englouti un million de livres sterling. Le bateau est alors transformé en câblier. C'est le seul navire capable de transporter trois mille cinq cent kilomètre de fil métalllique, pesant quatre mille cinq cent tonnes. Il permet à son nouveau propriétaire américain, Cyrus Field, d'installer le premier câble transatlantique.
En 1867, une compagnie française arme le navire, pour amener en France des visiteurs américains, à l'Exposition Universelle du Champs de Mars. On compte transporter quatre mille visiteurs par passage, mais l'entreprise est une fois de plus un fiasco. Seuls quatre-vingt onze passagers font la traversée....celle qu'effectuera Jules Verne.
on ne sait plus quoi faire du géant. Un journaliste propose de le lancer à grande vitesse contre l'isthme de Panama, pour percer le canal....
Le bateau change de main une dernière fois et devient un batiment de foire foraine. C'est la seule fois ou le Great Eastern sera rentable. A bord il y a des stands de tir, des jeux de massacre, une femme à deux têtes, un pithécanthrope, des marchands de guimauve, un studio photo....la soute est devenue un music-hall de huit mille places. Pas moins de quatre orchestres animent les soirées et les mâts du bateau sont devenus des supports d'exhibition, pour les trapezistes volants. En un mois, cinq mille visiteurs se pressent dans cet endroit irréel. Ce qui n'est pas du goût de tous, certains considérant que c'est là une fin bien peu honorable pour ce géant des mers.
En 1887, le Great Eastern est condamné à la démolition. Au préalable, une vente aux enchères est organisée, afin de disperser le mobilier du bord, les lustres, instruments de naviguation....
Lors de sa démolition, les corps d'un riveur et de son apprenti furent découverts entre les deux coques. Enfermés, par mégarde, au moment de la construction, le bruit infernal du chantier masquant leurs appels.
Le Great Eastern aura effectué vingt et une traversées transatlantiques.
Il restera une réussite en ouvrant la voie des paquebots transatlantiques modernes....c'est le cas de l' Adriatic, de 1906, le Mauretania ou encore l'Olympic et ses sister ships, le Britannic et surtout l'inoubliable Titanic, de 1912, qui en seront très fortement inspirés.
Dans les pensionnats des années 50, afin de motiver les jeunes à travailler ou se laver le matin, des prix leur étaient accordés, sous forme de petits cadeaux d'encouragement....
....bel exemple avec ce "savon de toilette" (c'est même marqué dessus, au cas où l'on confondrait avec autre chose !).
Le but, ici, étant de remarquer le scooter qui agrémente l'emballage. Il s'agit d'un rare Bernardet Guépar. choix étonnant vu la faible diffusion de ce modèle.
Petite anecdote sur le nom de ce scooter , qui fut le dernier de la firme : le mot Guépar n'a pas de "D". Ceci est très certainement dû au fait que Bernardet avait essuyé un procès, avec une certaine firme automobile de prestige anglaise, lors de la sortie de ce modèle, en le nommant au préalable "Jaguar". En ottant le "D" à Guépard, les frêres Bernardet s'exposaient-ils un peu moins ?
Bien loin de chez nous, au pays du soleil levant, les scooters qui ont marqué les esprits ne sont pas forcément les même qu'en Europe . La société Fuji de Tokyo a produit pas moins de 28 modèles différents entre 1946 et 1968.
Tout d'abord baptisée "Nakajima Aircraft", durant la seconde guerre mondiale, la société produisait en masse des avions de guerre et des avions porteurs.
Après la capitulation du Japon, en 1945, la société est interdite d'armement et devient la "Fuji Sangyo Co" puis la "Fuji Heavy Industry Co" en 1952.
les premières versions de scooters Fuji ont une ressemblance assez prononcée avec le scooter Cushman américain et le lapin bondissant est déjà présent sur la carrosserie.
mais le modèle dont nous parlerons aujourd'hui fait partie de la production des années 60 . Ses lignes rappellent elles aussi un autre scooter, le rare Ducati Cruiser italien.
Biensûr, très largement répandu au Japon, avec un demande de plus en plus croissante, le Rabbit sera diffusé, dans le monde et notamment aux Etats-Unis et au Canada.
Les premiers Fuji Rabbit qui fouleront le sol américain sont importés par la "Rabbit Motor Sales" de San Francisco en 1957. Néanmoins, le distributeur qui vendera le plus d'exemplaires restera l'American Rabbit Corporation de San Diego. Au Canada Malcom Bricklin diffuse également assez largement le scooter nippon....
....ayant commencé par être distributeur sous licence pour Innocenti avec les Lambretta.
Malheureusement à l'instant même où les ventes explosent l'usine Fuji stoppe la production.....le marché japonais évoluant vers d'autres horizons.
Le Rabbit ayant intégré notre collection est le modèle "Superflow", doté de la même robe "Or métallisé" que celui de la photo.
Il est surnommé la Cadillac des scooters....surnom bien mérité de part ses performances, avec son moteur de 250 cm3 culbuté, sa robustesse, l'élégance de sa ligne et quelques agréments d'utilisation tels que le démarreur électrique, la suspension hydraulique et l'embrayage automatique centrifuge, associé à un convertisseur de couple hydraulique.
Accessoirement des clignotants, une jauge de carburant au tableau de bord et ses pneus "Tubless" en font une machine à la pointe de la technologie dans la production scooteriste, de l'époque. Une grille frontale surmontée de son phare intégré lui confère également une allure classieuse et un poids de 148kg sur la balance le faisant ressembler à une voiture américaine à deux roues.
Le scooter Rabbit Superflow, aujourd'hui, est suffisamment rare, en Europe, pour ne pouvoir les compter certainement que sur les doigts d'une seule main.
le gros "lapin japonais" saura charmer toutes clientèles.....si on en croit la photo !.....
....ou encore cette peinture de Lili
Jouets....
Pour le plus grand plaisir des petits, à l'époque et des collectionneurs maintenant, le scooter Fuji a été décliné en de nombreuses versions de jouets.
ici attelé à un side-car.
la plus récente version Fuji Toy Pinky ne manque pas non plus de charme.
Voiturette....
Dans les paramètres de reconversion de la firme Fuji, la voiturette va prendre une place conséquente. Le Fuji Cabin à 3 roues permet d'être à l'abri des intempéries et de se faufiler aisément dans la circulation abondante de Tokyo.
.....si quelqu'un peut traduire ?
Le solex Micron surprend toujours lorsqu'il apparait dans les livres attribués à la production scooteriste . Pas de tablier, pas de moteur sous une coque, mais pas de pédales non plus, ce qui l'exclu du classement "cyclomoteur" . Nous pouvons donc considérer qu'il appartient aux "micro-scooters" qui font partie de cette famille dans le genre des Old, Valmobile ou autre Ami.....
Le solex micron est un véhicule un peu particulier, puisque c'est le seul "Velosolex" sans pédales ! Lorsqu'il apparait fin 1967, le micron est censé sauver la firme, alors en difficultés et attirer une clientèle jeune .
Sa conception assez basse l'oblige à se dispenser de pédales, imposant un démarrage "à la poussette". La législation de l'époque lui impose alors une immatriculation, avec carte grise et le permis A1 (obtention à l'âge de16 ans minimum).
De ce fait l'engin doit être équipé d'un avertisseur sonore (klaxon), un feu trois position à l'avant et un feu arrière .
La partie cycle du charmant petit engin est intégralement en tôle emboutie . son guidon est repliable afin de pouvoir rentrer dans un coffre de voiture . Facile à porter puisqu'il ne pèse que 29,5 kg .
Pour la mécanique il reprend celle du solex 3800, à la seule différence que son système de décompression est un peu différent et son galet d'entrainement d'un diamètre de 38 mm, au lieu des 42 mm du moteur d'origine, en rapport avec le petit diamètre de sa roue.
Avec un sympathique vent dans le dos, on peut flirter avec les 32km/h !
Malheureusement, malgré les efforts publicitaires conséquents de la société Vélosolex de Courbevoie (seine), seuls 3920 Microns sortiront des chaines de fabrication .
L'immatriculation et l'obligation d'obtenir un permis pour la conduite, de ce solex un peu particulier, ayant raison de son succès commercial, l'entreprise décide de décliner une version pour les circuits de la sécurité routière", en lien avec l'éducation nationale . Version très allégée....plus de phare, ni feu arrière. Le guidon est celui du 3800. Plus de klaxon, non plus et le moteur est bridé à 15 km/h...sécurité oblige, pour les enfants !
Ultime variante conçue pour la sécurité routière, le micron à trois roues, pour les moins téméraires ....toujours démarrage "à la poussette", mais cette fois il faut un pousseur !
J'ai eu la chance de conduire ce petit engin sur la piste de la sécurité routière, du parc de l'Europe, à st Etienne, lorsque j'avais une dizaine d'années...que de sensations fortes !
Le solex Micron a été décliné en deux associations de teintes : Rouge et gris et bleu/gris et gris . Nous avons pu réunir les deux modèles dans la collection.....
.....dont un bleu équipé de feux clignotants....
....gèrés par une petite centrale clignotante installée sous une des saccoches .
e
Si les scooters italiens Vespa et Lambretta ont envahi les pays voisins, ça n'a pas été le cas de tous les constructeurs transalpins.
Le scooter Guizzo est de ceux-ci et il est désormais quasiment impossible d'en trouver un sur le sol français.
La firme Bolognaise Palmieri et Gulinelli
alors orientée vers le cyclomoteur
décide en 1957 de lancer son premier scooter.
Sa conception sort des sentiers battus puisque son moteur est placé dans un tunnel central sous la plate-forme repose-pieds.
Les premières versions sont équipées d'un moteur 150cm3 monocylindre horizontal développant 7 chevaux. En 1962 année d'arrêt de la production, est présenté un ultime modèle, à moteur sous coque, afin de le faire ressembler un peu plus aux modèles concurrents des géants italiens, mais cela ne suffira pas à sauver la petite entreprise de Bologne .
Le Guizzo de la collection est un modèle de 1959 . autre particularité du modèle....le sélecteur de vitesse est au pied droit, que l'on bascule d'avant en arrière pour sélectionner son rapport .
La position du moteur "sous-plancher"
lui permet de se passer de refroidissement forcé,
par turbine.
Le Guizzo est un scooter luxueux bénéficiant d'une grande qualité de fabrication et de conception et notamment un système de suspension arrière oscillante lui conférant un certain confort routier.
Symbole de fierté italienne, Palmieri & Gulinelli estampille chacune des pièces du scooter de son nom.
Ne pas oublier l'insigne émaillé qui orne son tablier représentant un Centaure casqué bien sympathique, valant à lui seul d'avoir ce scooter dans sa collection.
Notre ami Michel Vallet, qui est à l'origine du blog sur la discographie de Johnny Hallyday, nous a fait une petite surprise ce matin .....
.....une superbe composition, pour illustrer le blog, comme il sait les faire . ça a du bon d'avoir des amis talentueux ! Merci Michel .
Les beaux jours approchent alors ce week-end nous avons sorti le polish.....
Une de nos voiturettes préférées reste l'Austin Mini-Moke pour son agrément de conduite et son côté "Saint-Tropez" très ludique.
Ce modèle est un peu particulier puisqu'il s'agit d'une version import d'Australie avec les roues 13 pouces, le moteur 1300 CC (qui en fait un très gros Kart) et surtout l'ancienne armature de capote, entièrement rabatable, qui a précédé "l'arceau cage" disgrâcieux.... ce qui lui permet de ne pas avoir de ceintures de sécurité. En effet ce modèle 1967 n'en possédait pas encore, ce qui est très agréable en balade de bord de mer, au grand désarroi de nos chers gardiens de la paix.
Son air "Jeep de plage" attire le sourire facilement, des amis que l'on promène, ainsi que celui des promeneurs.... tout ce qu'on aime !
Après la "lampe bretta" pour la fête des mères, cette fois j'ai sorti le pinceau !
Pour l'anniversaire de Géraldine, la Moke m'a inspiré. La toile mesure 30 x 40 cm.... peut-être le début d'une vocation artistique.... pour ceux qui ont oublié, l'anniversaire de Géraldine c'est le 16 Mars....
Ne trouvant pas le monde du scooter ancien assez vaste, nous avons étendu la collection à tout ce qui était possible d'y ajouter de façon cohérente. Nous allons donc aujourd'hui vous dévoiler un de nos centre d'intérêt que nous n'avions encore jamais évoqué dans ce blog, celui des scooters des neiges et scooters des mers anciens.
Nous commencerons donc par la fantastique histoire du scooter des neiges qui vaut son pesant d'or, ne serait-ce que pour l'histoire ou plutôt l'aventure qu'à vécu Joseph Armand Bombardier, qui fût l'un de ses inventeurs et surtout la personne qui développera ce marché de façon internationale .
Bombardier ou l'invention du moto-neige
Joseph Armand Bombardier est né le 16 Avril 1907 dans le paisible village agricole de Valcourt au Québec. Fils d'Anna Gravel et Alfred Bombardier, il sera l'ainé de huit enfants.
Très jeune, il a des prédispositions pour le milieu mécanique et dès l'âge de 13 ans, il construit un modèle réduit de locomotive animé par un mécanisme d'horlogerie. Puis, il fabriquera d'autres jouets mobiles dont des tracteurs et des bateaux qui feront le bonheur des enfants qui l'entourent.
Rapidement, il désosse une vieille machine à coudre qui se transforme en moteur à vapeur. Il adapte sa création sur le rouet de sa tante qui à son grand désarroi voit son rouet touner de plus en plus vite.
Le jeune adolescent ne s'en arrête pas là et se fait céder d'un ami de son père, un fusil de calibre 12, hors d'usage. Il modifie le canon ainsi que la culasse et le transforme en canon de guerre miniature. Il en fait la démonstration une semaine plus tard au donateur de l'arme à feu, qui en reste médusé.
C’est là que tout commence….
Le père de Joseph Armand se lassant des démontages et remontages du moteur de son auto, confie à son fils le moteur d'une vieille Ford T jugé irréparable. Avec l'aide de son frère Léopold, non seulement, il le répare mais il va mettre au point ce qui sera l'une des toutes premières auto-neige de l'histoire.
A l'âge de 15 ans, le 31 décembre 1922, Le père Bombardier assiste à la démonstration concluante d'un véhicule pouvant se mouvoir de façon autonome sur la neige.
L'engin est constitué d'une luge en bois surmontée du fameux moteur de la Ford T paternelle et propulsé par une hélice en bois adaptée à l'arrière de celui-ci. Léopold s'occupe des commandes et Joseph Armand, debout à l'arrière, s'occupe du bon fonctionnement du moteur. Le père se montre fier de ses fils mais conscient du danger que peut occasionner l'hélice ordonne le démontage immédiat de la "machine infernale".
La famille Bombardier à son grand complet en 1932
A l'âge de 17 ans, avec le consentement de son père, l'inventeur en herbe part faire son apprentissage dans un garage mécanique puis suit des cours du soir en mécanique et électricité automobile, à Montréal.
En 1926, il revient dans son village natal pour créer son propre garage grâce à un prêt personnel que lui attribue son père . Il va acquérir très vite une excellente notoriété grâce à son aptitude à résoudre tout problème mécanique, qu'ils soient d'ordres tant automobiles que concernant un moteur de banc de scie ou autre pompe agricole ....
Mais Joseph Armand reste surtout préoccupé par l'isolement des campagnes, dû à la neige et se met en quête d'un véhicule pouvant se déplacer sur la neige de façon sérieuse .
En 1928, il adapte sur une automobile un système de ceinture d'acier entrainé par un double essieu. Il supprime les roues avant qui sont remplacées par des skis métalliques .
Puis en 1931, il adapte également une chenillette munie d'une courroie de coton sur les roues qui sera suivi en 1935 du système "Barbotin-chenille" composé d'un barbotin en bois recouvert de cahoutchouc entrainant une chenille composée de deux bandes de cahoutchouc reliées entre elles par des traverses métalliques . Il faudra attendre 1937 pour que le bureau des brevets d'Ottawa valide ce brevet , mais c'est la consécration qui motive définitivement notre homme dans ses efforts qui ont fréquemment été soumis aux railleries de certains .
Plutôt que de vendre son brevet à un industriel Joseph Armand Bombardier décide d'exploiter lui-même son invention . Il devient alors industriel, agrandit le garage Bombardier qui fonctionne désormais toute l'année et procure rapidement au village emplois et prospérité .
A l'hiver 1936/1937 apparaissent sept véhicules auto-chenille intégralement conçus par les ateliers "Auto-Neige Bombardier" . Il s'agit du B7 ....B pour Bombardier et 7 pour le nombre de personnes à son bord . Il remporte rapidement un franc succès qui ouvre la voie d'un marché porteur intéressant très rapidement les médecins, vétérinaires et autres .....établissements de pompes funèbres ! souvent très gênés par les problèmes de circulation l'hiver . Ils peuvent désormais braver les aléas de l'hiver .
des sociétés comme Coca-Cola et la marque de crêmes "glacées" Perfection font partie des premiers clients afin de subvenir aux besoins de leur clientèle .
Joseph Armand Bombardier sillonne largement le Québec avec un de ses engins et prends un soin tout particulier à stationner près des bureaux de presse, des villes où il passe, afin d'attirer l'oeil, s'assurant ainsi régulièrement une publicité gratuite .
Mais notre inventeur ne compte pas s'en arrêter là et met déjà au point un véhicule pouvant transporter 12 personnes ...le B12 . qui donne à ses inventions une dimension plus "collective"
ce véhicule hors-norme intéresse immédiatement, la police, les écoles, les pompiers.....et offre des capacités uniques aux adeptes d'expéditions polaires.....
les roues sont désormais remplacées par des roues pleines, afin de remédier au problème d'accumulation de neige, dans le système d'entrainement .
le "service des postes de sa majesté" deviendra biensûr un bon client lui aussi .
Malheureusement le Canada entre en guerre, freinant Joseph Armand dans son élan . Le "ministère de l'approvisionnement et des munitions" le réquisitionne afin de transformer son dernier véhicule à des fins plus militaires . Il met au point le B1 qui fait l'objet de plusieurs dépôts de brevets au Canada et aux Etats-Unis . Il fera l'objet de nombreuses adaptations destinées à la défense, dont un amusant "Penguin Mark3". Drôle, tout au moins, pour le nom puisque ce véhicule est un blindé destiné à un usage bien peu poétique. Point positif de cette période Joseph Armand développe en milieu militaire ses capacités au travail et s'entoure intelligemment de personnes compétentes pour la production . Ceci lui permet de se consacrer, quasiment à plein temps, à ses inventions et adaptations .
En 1946 le garage ne suffisant plus Joseph Armand fait sortir de terre une usine sur le modèle des chaines de montage Ford, afin de subvenir aux besoins de l'entreprise devenue désormais "l'Autoneige Bombardier limitée" au capital de 3000 actions.
le B12 est rapidement décliné en diverses versions à usages variés ....
on peut même désormais remplacer les patins avant par des roues, pour utiliser les véhicule en milieu boueux.
des adaptations seront apportées pour pouvoir utiliser ces véhicules dans toutes conditions difficiles. Le système de chenilles sera même adapté à d'autres véhicules tels que des tracteurs devant travailler en milieu marécageux.
ici dans deux versions dont l'échancrure dans la carrosserie permet d'installer sur l'essieu avant, de façon interchangeable, roues ou patins en fonction de l'utilisation désirée.
Bombardier vulcanise....
Les chenilles étant raccordées par des boulons entre elle, ceci créer un point de rupture que Bombardier voudrait résoudre . N'ayant aucun fournisseur qui peut subvenir à ce problème majeur, Joseph Armand met au point et dépose le brevet d'un nouveau système de vulcanisation du cahoutchouc, lui permettant ainsi de fabriquer des chenilles sans fin.
A la fin des années 50, l'entreprise ayant retrouvée sa prospérité, notre inventeur peut se consacrer à son passe temps favori....l'invention . Ainsi voient le jour ses premiers prototypes de "moto-neige" qu'il prend lui-même plaisir à expérimenter dans les vastes forêts canadiennes.
rapidement les brevets relatifs à cette découverte prédominante sont déposés . l'engin prévu surtout pour les "loisirs récréatifs" porte le nom de "Ski-Doo" initialement appelé "Ski-Dog" mais une brochure imprimée avec une faute d'orthographe changera la donne ....le "scooter des neiges" vient de naître.
Joseph Armand Bombardier nous quitte le 19 février 1964, à l'âge de 56 ans.
Sans le savoir, il a jeté les bases de ce qui deviendra la "Bombardier Corporation" présente dans l'industrie des loisirs, du nautisme, du transport ferroviaire, de l'aéronautique....un des plus puissants groupes industriels canadien et mondial.
Dix ans seulement après sa disparition plus de 1 million de motoneiges étaient déjà en circulation !
...Nous allons essayer de partager notre passion avec les personnes qui ressentent la même vibration que nous lorsqu'elles voient un scooter ancien, mais aussi les nostalgiques des premiers congés payés, de dolce vita, et tous les autres y compris les fans de Rock'n Roll qui veulent partager un bout de route avec nous.
Alban, Géraldine et Jade
Acma Adler Aermacchi macchi AGF Agrati-Garelli Alcyon Aldimi prince Allstate Alma Alpino Ambassador Ambrosini AMC Ami Achilles Aquila Ardent Ariel Aubier dunne Autobiroue Auto-fauteuil Autoglider Automoto Auto-ped Autoped Maurice Avol Babymoto Bajaj Bastert Belmondo Benelli Bernardet Bianchi Bimot Binz Bitri BMW Bond Boudier Bremer Briggs & Stratton Brockhouse Brissonnet BSA Bouffort Bufflier Camille Foucaux Carniti Casal Casalini Cazenave Cimatti Citysix Colibri Comindus Condor Corgy Crescent Csepel Cucciolo Cushman Cyclemaster Cyrus CZ cezeta Daventry Dayton décalcomanie De Dion Bouton Demm Derbi Derny Dervaux Dilecta DKR DKW Douglas Ducati cruiser Durkopp diana Elvish Excelsior Faka Favor Febo Felix Millet Ferbedo Fiat Flandria la parisienne FMC Follis Fuji rabbit Garelli Gianka Gilera Gillet herstal Gitane Glas Goggo Isaria Isar Gnome-rhône Griffon Guiller Moto guzzi galletto Harley Davidson Topper Heinkel tourist Hercules Himo Hirano Hirondelle Manufrance HMW Hoffmann Honda cub juno spacy spazio motocompo monkey Horex Humblot Ilo Indian papoose Innocenti inter Iso Isothermos IWL berlin berliner wiesel troll patty James JAWA Jb Louvet polo Jonghi Kingsbury koehler-escoffier Kreidler Kroboth KTM ponny Lambretta La mondiale Lavalette Laverda scooterino Lefol scoot air Lenoble Lepoix Le Poulain Liberia Lohner rapid l 98 Lucer Lumen Lutz Macquet Magnat Debon Maïco mobil Maïcomobil maïcoletta Mako Malaguti Malanca Mammut Manet Manurhin Marinavia Mars Martin Moulet Maya Meister Megola Mercury Messerschmitt Miele Minerva M-val Georges Monneret Monotrace Mochet Monark Monet goyon Montesa Motobecane motoconfort Motobi Motovespa MR MV Agusta MZ Ner a car Neracar New-Map Ninon Nibbio NSU prima OLD miniscoot Osa Oscar Pagnon Paperino Paloma Panther Pantherwerke Parilla le Levriere Paul Vallée Paupe Peripoli Peugeot s55 s57 Piaggio Piatti pin'up Pirol Poinard Powell Pp roussey Prior Progress Puch RS RL Radior Raleigh Ravat Riedel RSI riva sport industrie Rohr Ronex Rumi formichino scoiattolo Sabb Sachs Salsbury San Cristoforo Sarolea djinn Scootavia Scootmule Scott Scoto Skootamota Scootamoa Serveta Sears Sicrav Simard Simplex Sim Simson schwalbe Socovel Socvel Speed mors speed Stabylcar phillippe Starck Stella Sterva sterling Sunlight Sun Wasp Superia Swallow gadabout Side-car Tamoto Tatran Terrot Testi Tubauto Triumph progress comtessa Tula TWN tessy tina Unibus Valmobile Victor Bouffort Gabriel Voisin Velocette le Vélosolex plisolex micron Venus Vespa V5A Faro basso tringles rainuré bachetta 150 GL GS 180 SS 200 rally Victoria Vjatka Wabo Walba WFM Ydral Zündapp
Nous sommes plus que jamais à la recherche de tous modèles de scooters anciens, de toutes provenances, qu'ils soient de grande série, prototypes ou artisanaux....
Malgré les années de collection et les dizaines de milliers de kms parcourus à la recherche du mouton à 5 pattes, notre passion est toujours intacte.
Cette collection privée a pour but de s'ouvrir au public sous forme de musée à moyen terme, afin de sauvegarder ce patrimoine si précieux.
... mais également toutes documentations, affiches et jouets à l'effigie des scooters.
Nous recherchons aussi tous les objets de garage et de station service : pompe à essence, gonfleurs, bibendum, chariots de graissage, habits de pompistes et plaques émaillées Dunlop, Esso, Gargoyle, Shell, Fina pour agrémenter et illustrer cette collection.
Nous nous déplaçons partout en France et en Europe.
Vous pouvez nous joindre au
06 88 22 13 84 ou par email à alban.dechaumet@free.fr
Jury bovin pour scooter transalpin
Vespa Gold devant le Père Lachaise
Ressort ou Vespa ?
L'excellent magazine LVM (La Vie de la Moto) a fait les éloges du blog.... merci M. Leurette.
Si le thème de la collection de notre ami Gérard Murat est un peu différent du notre, il n'est finalement pas si éloigné.... la passion reste la même.
Gérard a créé un bistrot casse-croute étonnant autour de millier d'objets collectés, depuis plus de 30 ans, sur le thème de l'épicerie. On y mange des assiettes garnies de qualité, tartines, barbe à papa, et limonade etc etc, à toutes heures, dans un décor unique, sur des tables en formica.
Nous vous recommandons chaudement "La limonade de Marinette", 46 rue St-Georges dans le 5ème arrondissement de Lyon (derrière l'église Saint-Georges, sur les quais de saône).
gérard a eu les honneurs de France 2 la semaine dernière, dans l'émission de sophie Davant à ne pas manquer .... http://cestauprogramme.france2.fr/index-fr.php?page=article&id_article=5112&mode=video